Evan de Lapeyrière se détache comme un peintre sensible de l’École de Paris, naviguant avec élégance entre les aquarelles délicates et les huiles atmosphériques. Il excelle tout autant dans la représentation de paysages bretons (ruelles, calvaires, paysages de fouesnant ou de Plougastel-Daoulas), que dans l’évocation d’espaces nord-africains ou maghrébins, comme en témoignent ses vues signées du Maghreb, souvent proposées en ventes aux enchères. Dans un registre plus intimiste, son album “TAZA 10 mai 1914” témoigne de son regard documentaire sur le Maroc, mêlant cartes, aquarelles et dessins au crayon.